Compétence 11

S'engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel.

La communication avec les parents...

Dans le cadre du cours DDM4650, nous avons eu la chance d'avoir diverses conférences. L'une de ces dernières a été donnée par Monsieur Pierre Gagnon sur les relations entre les enseignants et les parents. Préalablement, nous avions eu à faire un remue-méninge sur les connaissances antérieures que nous avions sur le sujet. J'avais donc relevé le fait qu'afin d'avoir une bonne relation entre l'enseignant et les parents, il faut être transparent en tout temps. De plus, selon moi, une relation entre les enseignants et les parents qui est fondée sur une bonne base est essentielle à un bon cheminement. La conférence que nous avons eue a été pour moi formative.

 

En débutant, je l'avoue que la personne qui était devant moi a bousculé mes croyances et mes convictions. Au cours de cette dernière, j'ai pu voir qu'il était important d'être nous-mêmes devant les parents. Il nous a donné des conseils. Le premier conseil que je compte sans aucun doute utiliser est qu'il faut se mettre à égal avec les parents. Il faut aussi leur montrer qu'ils doivent nous laisser notre place au niveau de la gestion de notre classe et de la discipline que l'on exerce au niveau des élèves. J'ai aussi appris que j'ai toujours eu une fausse conception en ce qui a trait à ce que nous devons faire lors d'une rencontre de parents au début de l'année. Cette dernière est que je croyais qu'il fallait absolument présenter le matériel que nous allions utiliser au cours de l'année. L'argument de Monsieur Gagnon était que ce n'est pas la première préoccupation des parents. Selon moi, il a dit tout à fait vrai. Je crois que l'aspect de la rencontre de parents m'a beaucoup aidé au niveau de mon anxiété que j'avais déjà même si je n'ai pas ma propre classe présentement ou encore l'année prochaine. Le mot clé que j'ai retenu de toute la conférence est : confiance. Il est important de montrer aux parents que nous savons où nous nous dirigeons afin d'établir notre crédibilité envers tous. Il faut en premier lieu leur prouver que leur enfant est entre bonnes mains. Il faut garder en tête que nous devons en tout temps être éthique dans notre pratique.

 

Une métaphore que j'ai vraiment appréciée est celle du tricycle. Monsieur Pierre Gagnon nous expliquait que l'élève est celui qui est au guidon du tricycle et finalement, les parents et l'enseignant sont les petites roues que l'on retrouve à l'arrière. Donc, si l'élève décide de ne pas avancer et de ne pas faire d'effort et bien, les personnes l'aidant ne peuvent pas le faire pour lui. Un autre cas est que s'il y a une roue qui est manquante, il est dur pour l'enfant d'avancer correctement comme il devrait le faire. Afin d'avoir les roues de soutien, une bonne relation entre les parents et l'enseignant est la clé afin que l'élève poursuive son cheminement correctement et dans les meilleurs des conditions. D’ailleurs, « les études montrent que l’implication des parents dans le parcours scolaire de leur enfant favorise sa réussite scolaire, son sentiment de bien-être, son assiduité, sa motivation et ses aspirations, tout en ayant des répercussions positives sur les parents eux-mêmes et sur les enseignants. » (Nanhou, Virginie. 2013)

 

En somme, dès le début de l'année, il est important de créer une bonne relation avec les parents de nos élèves. J'ai grandement appris lors de la conférence grâce aux conseils que le conférencier nous a mentionnés. Cette conférence m'a fait réfléchir et j'ai pu penser à l'enseignante que je voudrais être dans le futur. Je compte continuer à chercher des ressources pour mon développement professionnel. Je pars déjà avec un document qui est, selon moi, une ressource importante. Il s’intitule Entreprendre une bonne relation avec les parents.

 

 

Nanhou, Virginie. (2013). La collaboration parent-école au primaire : le point de vue des parents. Institut de la statistique Québec. Vol. 7. Récupéré le 19 janvier 2017. http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/education/prescolaire-primaire/collaboration-parent-ecole.pdf

 

Cantin, P. (2014, juin). Entreprendre une bonne communication avec les parents. Communication présentée à CPE-BC Joli-Coeur. Résumé repéré à http://cqjdc.org/wp/wp-content/uploads/2014/06/J_2_Cantin-24avril-10h30@.pdf 

 

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Cours de FPE4511

Tout d'abord, je tiens à mentionner que l’élaboration des travaux en équipe, ainsi que les apprentissages faits dans ce cours m’ont permis de réaliser à quel point l’évaluation des apprentissages est un aspect très important dans l'enseignement. J'exercerai bientôt cette profession et je suis très contente d'avoir suivi ce cours. C’est en étudiant davantage la démarche évaluative, les notions et sous-notions, les composantes de la compétence, la taxonomie des habiletés, la définition du domaine, les types de connaissances, les six modèles d’intervention en évaluation formative, les échelles de mesure, les types de questions, l’analyse d’items et autres, que j’ai compris l’envergure d’un instrument de mesure de qualité. Nous croyons que l'évaluation est facile à faire mais il y a tellement d'élément à prendre en considération. 

 

En effet, pour qu’un examen soit valide et fidèle, il faut analysé tous les petits détails et faire preuve de réflexivité. Il est important de se questionner et de laisser de côté le lien affectif que nous avons envers l’examen que nous avons initialement conçu. Par exemple, lors du travail trois au laboratoire informatique, mes coéquipières et moi avons constaté, en analysant les données, que notre instrument de mesure était beaucoup trop facile pour les élèves que nous avions préalablement choisis. Nous avons donc inscrit dans notre travail que si nous avions à donner à nouveau cet examen à d’autres élèves, nous prendrions le temps de modifier les questions, afin d’augmenter le niveau de difficulté. Cet aspect de réflexion m’amène à parler des trois travaux que nous avons réalisés en équipe. J’ai constaté que plus il y a de gens à travailler sur un même examen, plus les idées sont nombreuses et donc plus il est difficile de choisir les meilleures parmi celles-ci. En équipe de trois personnes, il est parfois difficile d’être tous en accord, mais je pense sincèrement que le temps que nous prenons pour débattre et s’entendre est d’une richesse remarquable.

 

En effet, c’est en discutant longtemps et en ajoutant chacun notre couleur que l’on réussi à obtenir consensus et à avoir un examen de qualité supérieure. En procédant ainsi, chacun des items est passé au peigne fin et à sa raison d’être. D’ailleurs, pour revenir au travail d’équipe, j’ai trouvé que cela a été une expérience très signifiante, puisque lorsque nous serons des enseignants, nous aurons à travailler avec d’autres gens (directions d’école, orthopédagogues, techniciens spécialisés, psychologues, etc.), afin d’aider les enfants qui seront dans nos classes. Par contre, nous aurons certainement des opinions différentes et il faudra quand même s’asseoir tous ensemble et s’entendre dans le but de prendre les meilleures décisions pour les élèves en question. Ceci nous demandera de mettre en oeuvre plusieurs habiletés que nous avons eu la chance d’approfondir durant l’élaboration de ces travaux.

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Ma compétence 1.... après preseque 4 ans de BAC

 

Dans le cadre du cours de sciences que j'ai suivi à l'automne 2016, soit le DDM410A, nous devioons faire une rétroaction sur notre compétence 1. Alors voici ma réflexion !

 

Au tout début du baccalauréat en éducation préscolaire et en enseignement primaire, nous entendions sans cesse parler des treize compétences professionnelles. Au départ, je trouvais que l’on se faisait casser les oreilles et que cela n’avait jamais vraiment de sens pour nous. Par contre, au fil des années et de mes expériences dans les différents milieux, j’ai acquis le sens réel de la compétence 1, soit Agir en tant qu’héritière d’objets de savoir et de culture. Lors du cours de sciences que j’ai suivi cette session, j’ai eu la chance de pouvoir réfléchir sur mes compétences et, plus particulièrement, sur l’avancement de ma compétence 1. À ce moment, je ne savais aucunement quoi écrire, car je n’avais jamais pris le temps de réellement m’arrêter et de cogiter sur la progression de mes compétences professionnelles. J’ai alors pu voir mon cheminement depuis le tout début du baccalauréat.

 

La compétence 1 s’articule autour de trois dimensions : être capable d’interpréter ces savoirs et ces cultures, être critique envers les savoirs et les cultures, puis être héritier de savoirs et de culture. Pour moi, un enseignant héritier, critique et interprète d’objets de savoir et de culture est une personne qui ne tient jamais pour acquis l’entièreté de ses connaissances. Il sait que nous apprenons tous les jours grâce à nos élèves. De plus, puisque la culture est un élément de transmission de savoir qui est en constante évolution, un enseignant voulant faire preuve d’interprétation de savoir sera alors toujours en train d’apprendre. Ensuite, selon moi, un enseignant étant interprète d’objets de savoir et de culture doit prendre en compte qu’il a devant lui plusieurs élèves qui n’ont pas tous le même bagage culturel. Il devra donc s’adapter en fonction de son auditoire. Un bon exemple de cela est lorsque nous sommes en stage ou encore en suppléance et que nous voulons présenter une notion aux élèves qui sont devant nous. Il faut que nous ayons préalablement tâté le terrain quant à leurs connaissances afin que ce que nous voulons dire soit pertinent pour tous et qu’on ne perde pas la moitié des élèves en le disant. Un bon enseignant digne d’une compétence 1 doit être en mesure de comprendre les différents savoirs à enseigner de telle sorte qu’il puisse favoriser la création de liens significatifs chez ses élèves. Il me parait évident que le rôle de l’enseignant ne s’arrête pas à l’apprentissage des simples savoirs disciplinaires. C’est avec un peu de motivation et de la bonne volonté que l’enseignant effectuera toutes les démarches possibles afin d’agir comme une source de savoirs. Il est important que l’enseignant mentionne à ses élèves qu’il ne connait pas tout et qu’il peut faire des erreurs tout comme eux. Par exemple, lorsque je suis en classe et qu’un élève me pose une question de laquelle je ne connais pas la réponse, au lieu de lui mentir, je lui dis tout simplement que je ne le sais pas et que nous pouvons chercher afin de trouver la réponse. Je dis aussi que je ne sais pas tout et que j’apprends tous les jours comme eux.  

 

De plus, selon moi, tous les enseignants devraient avoir à cœur d’intégrer des savoirs de toutes sortes à leur enseignement.  En utilisant des situations de la vie courante, l’enseignant réussira à faire des liens avec les apprentissages visés et la culture. Il réussira aussi ces liens en le faisant entre les différentes matières, soit en faisant de la multidisciplinarité. Afin que les savoirs et la culture passent plus facilement, il est important d’utiliser l’actualité, car cette dernière se trouve sur les lèvres de tous et donc dans les maisons. Les événements en cours dans la ville sont d’autant plus des excellents déclencheurs de culture, car ils permettent la discussion et même, parfois, les enseignants peuvent décider d’y participer avec leurs élèves.  Il est aussi important que l’enseignant construise une culture propre à la classe avec ses élèves. En faisant cela, il crée donc un point de références communes, une identité, une valeur ainsi qu’une manière de faire et de communiquer qui sont partagées et valorisées par l’ensemble des élèves. Il s’organise afin de transformer la classe en un lieu de questionnement et de discussion où chaque élève peut exprimer ses opinions dans le respect de celles des autres. Il est facile de percevoir cela lorsque nous rentrons dans une classe lorsque nous sommes suppléants ou encore stagiaires puisque ce n’est pas la même dynamique. Dans tous les cas, cela est ma perception et c’est ce que je peux percevoir lorsque je vais dans des classes. Un enseignant digne de ce nom doit aussi faire preuve d’une culture générale ouverte et d’une bonne compréhension de son rôle social auprès de la communauté scolaire. Cette compétence implique que l’enseignant joue aussi un rôle d’intermédiaire entre les savoirs et les apprentissages souhaités qui seront acquis par les élèves. Il doit donc interpréter les contenus prescrits par le ministère que les élèves devront apprendre. Il mettra donc à profit sa compétence 1, car il devra transposer les informations en une séquence didactique digne de ce nom. Les élèves seront donc en mesure de faire des apprentissages durables et signifiants. Je crois que la caractéristique la plus importante de tout apprentissage est la signifiance. L’enseignant utilisera donc la réalité pour faire cela.  J’ai constaté l'importance de créer des liens entre ce qui est appris à l'école et ce qui se vit en dehors des murs de l'école, car ce lien rend les apprentissages plus significatifs et plus durables pour les élèves. Une portion du travail d’un enseignant qui se respecte est qu’il s’est approprié une démarche ludique afin d’intégrer des savoirs essentiels propres au programme. Quel enfant ne rêve pas d’apprendre tout en s’amusant ? Mes diverses expériences depuis le début du baccalauréat m’ont permis de remarquer que c’est beaucoup plus facile de faire passer une notion ou encore de l’information en mettant un élément plus ludique.

 

Effectivement, les élèves travaillent et apprennent, mais l’enseignant doit aussi démontrer un esprit critique à l’égard de ses propres convictions, idées, perceptions et préférences culturelles. Il doit donc exercer un jugement critique ainsi que constructif, et ce, de façon continue, de son rôle d’enseignant, de lui-même, de contenus à voir avec chacun de ses élèves - soit les savoirs, les stratégies et les connaissances - et surtout, du matériel didactique qui sera utilisé. L’enseignant doit être critique à propos de tout ce qui l’entoure, il y aura donc un impact dans la posture professionnelle de l’enseignant. La planification, l’enseignement et l’évaluation des situations d’apprentissage sont entre autres des exemples de gestes professionnels qui montrent le degré et la qualité de l’implication de l’enseignant et son esprit critique.

 

La dernière dimension de la compétence 1 qui est d’être héritier de savoirs et de culture comprend que l’enseignant amène sa culture, qui est propre à lui, soit celle qui est autant professionnelle que personnelle. Le fait d’amener sa culture dans son enseignement teinte ce dernier, mais amène aussi un côté plus réaliste et humain à l’enseignement. L’enseignant, afin d’être une personne héritière, devra aussi continuer d’élargir ses horizons quant à la culture et de les actualiser, et ce, même si un sujet l’intéresse moins. Un bon exemple qui montre que j’ai moi-même étoffé ma compétence 1 est que, lorsque je suis en stage, je m’assure de toujours faire un projet sur un sujet qui passionne les élèves et que je ne connais absolument pas. J’ouvre donc mes horizons et je cherche à en connaitre plus. Je fais de même lorsque je vois qu’un enfant est passionné par quelque chose et que je crois qu’il serait bien que j’approfondisse mes connaissances à ce sujet, car il ne doit pas être le seul à aimer cela.

 

Finalement, un enseignant se doit d’avoir une compétence 1 étoffée, car elle est à la base d’un enseignement qui est favorable à un apprentissage stimulant et formateur. L’enseignant que j’ai décrit tout au long de ce texte sera, je l’espère, moi dans quelques années. J’ai grandement appris tout au long de la session et lors du camp, j’ai grandement appris quant au fait de faire des sciences à l’extérieur et de transmettre nos savoirs.

 

Kim Levasseur       

 

 

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Les sciences en classe

 

Au cours de mes stages, j'ai pu remarqué que les élèves ont une attirance extraordinaire pour les sciences ou encore l'idée qu'ils en font. J'ai eu également la chance d'avoir une classe à moi, et ce, pour 2 mois. La simple idée d'évoquer que nous ferions des sciences, soit qu'ils auraient tous la chance de manipuler et d'aboutir à la conclusion du sujet que nous étions en train d'abroder les a rendu totalement fou. J'ai pu avoir ma propre classe au printemps 2016, soit immédiatement après un cours qui me semblait un peu intense en contenu et que je ne voyait absolument pas pourquoi nous voyions autant de contenus que même au secondaire nous ne voyons pas. Ce cours en tant que tel est le cours de sciences qui se déroulait au centre des sciences de Montréal. Une fois dans une classe et devant faire des sciences avec eux, car je crois que c'est une matière que bien des enseignants négligent, je tenais modicus à en faire. C'est alors que mon cours m'est revenu en tête et que j'ai pu en faire profiter à mes élèves qui allaient certainement en sortir grandi. Lors de ce fameux cours, nous devions faire des protocoles d'expérimentation que je ne croyait pas pouvoir utiliser aussi rapidement. Je fût bien contente de tout le temps que j'ai mis pour les construire vu l'économie d'énergie que j'ai pu faire lorsque je les ai utilisé dans ma classe. J'ai appris grandement en faisant le cours de sciences et de technologie puisque j'ai vu des notions que je n'avais jamais entendu parler et qui sont vraiment sympa à voir avec nos élèves. Il faut aussi surtout enlever l'idée que certains élèves ont et qui est que les sciences sont fait majoritairement de magie. Certains profs n'osant pas expliquer les phénomènes qu'ils présentent expliquent le touten disant que c'est de la magie ! Il ne faut pas avoir peur d'expliquer des notions scientifiques à nos élèves, car ceux qui peuvent les comprendre vont les comprendre et les autres vont prendre ce qu'ils peuvent et ce n'est pas grave s'ils ne peuvent comprendre le tout. L'important, c'est qu'ils comprennent que ce n'est pas de la magie et qu'il y a une explication derrière toute chose. 

 

Voici un aperçu des protocoles d'expérimentation que j'ai construit lors de mon cours de sciences qui  m'a permis d'en sortir grandi. Veuillez noter que j'ai modifié mes protocoles pour l'expérimentation en classe vu que j'ai pris en compte le niveau de connaissances de mes élèves quant aux sujets que nous abordions. J'ai donc dû aller chercher encore plus d'information au cas où certains élèves seraient encore plus curieux.  J'ai enfin pu mettre en relation la théorie que j'ai suivi à l'université et la pratique que j'ai fait à la fin de mes cours !

 

 

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La suppléance

Depuis la fin de mon premier stage, j'ai augmenté considérablement mon niveau d'expérience avec les enfants. J'ai fait énormément de suppléance et je crois que cela a été bénéfique. J'ai créé énormément de liens avec les élèves de l'école où je remplace régulièrement. Je suis toujours bien heureuse de les revoir et eux aussi de leur côté ils sont très contents de me voir.

 

J'ai pu remarqué avec les divers remplacements que j'ai fait que les élèves aiment beaucoup que nous prenions le temps de les connaitre. Il ne suffit de seulement rentrer dans la classe et de faire strictement ce qui est écrit sur la planification de la journée. Par exemple, lors de la prise de présence, nous pouvons poser des questions aux élèves. Après qu'on ait fini la prise de présence, nous essayons de nommer chaque nom et de dire l'information que les élèves nous a dit. Cela les amuse grandement et de plus, nous créons un certain lien avec la classe. 

 

Quand on fait de la suppléance, il faut se souvenir que oui nous laissons un compte rendu à la fin de la journée, mais les élèves eux aussi vont dire ce qui s'est passé durant la journée. Si nous laissons une bonne impression aux enfants et à l'enseignante, nous augmentons considérablement notre chance de se faire rappeler. 

 

J'adore faire de la suppléance ! Voir le sourire des enfants c'est une chose inestimable. Je vous défi de ne pas avoir le sourire aux lèvres quand vous les voyez tout content de vous voir. C'est IMPOSSIBLE ! 

 

Petits trucs à prendre ou à laisser :

*Ne pas essayer d'être leur ami, on peut avoir une bonne relation avec eux, mais il ne faut pas franchir une certaine limite. Si on veut qu'ils nous écoutent c'est mieux comme cela. Il faut rester professionnel ! De plus, il ne faut pas essayer d'être « cool », car ils vont en profiter. Aussi, on est « cool » à leur yeux quand ils passent une belle journée avec nous !

 

*Prenez le temps de vous présenter..... Les élèves veulent savoir qui nous sommes. Il est primordial de prendre quelques minutes afin de vous nommer, parler un peu de vous et prendre les présences pour bien voir chaque visage. Cela permet de montrer aux élèves que vous êtes réellement intéressée à les connaître, à créer un petit lien pour la journée. Regardez les dans les yeux et dites leur bonjour. Je vous garantis que ce sera gagnant! Il sera plus facile d'avoir une bonne gestion de la classe si les élèves savent à qui ils ont affaire. 

 

* Donnez des consignes claires et soyez constantes. Peut-être que l'enseignante que tu remplace ne fait pas la routine comme cela normalement, mais aujourd’hui c’est vous et avec vous ça fonctionne de telle façon. Expliquez-leur votre manière de fonctionner dès le début de la journée et il se peut que cela soit légèrement différent, mais les élèves verront votre couleur et s’adapteront. L’important c’est de ne pas changer en cours de route. Le mot qu'il faut retenir, c'est CONSTANCE. 

 

* Le nombre de dessins qu'on peut recevoir, c'est inimaginable ! Gardez-les, c'est une preuve qu'ils vous apprécient énormément.

 

Voici ma feuille de compte rendu !

 

 

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